Boss Games de Alexia Perkins
boss

SERVICE PRESSE

Je remercie l’auteure et Editions Addictives pour ce service presse


Mon résumé :


Issue des quartiers défavorisés, Grace O’Brien à la rage de vivre. Élevée entre un père taulard et une mère toxico, elle a travaillé dur pour être admise à Stanford. A deux doigts de devenir avocate, elle a trouvé un job de serveuse dans un club libertin, le Luxure. Le problème ? Son boss super sexy, Gabriel Miller.


Grace est une jeune étudiante en droit. Acharnée de travail, elle est stagiaire dans le meilleur cabinet d’avocats de la ville. Pour payer ses études, puisqu’elle ne peut pas compter sur ses parents, elle trouve un job de serveuse dans un club échangiste. Ethan et Gabriel, ses patrons, sont des hommes charismatiques. Mais c’est lorsque Gabriel est dans les parages, que Grace perd tous ses moyens.

Gabriel Miller est un homme d’affaires qui aime les femmes. Mais pas question de s’installer dans une vie pépère. Il travaille dur, beaucoup, tout le temps. Lorsqu’il recrute Grace, étudiante fauchée, il compte bien appliquer le même règlement qu’avec les autres : pas de sexe entre collègues. Mais…


Mon ressenti final :


Si j’avais dû rendre ma chronique à chaud, comme je le fais tout le temps, elle aurait été négative. Le résumé m’a semblé en décalage avec ma lecture et parce qu’habituellement, j’aime beaucoup l’écriture d’Alexia, j’ai décidé de laisser les mots faire leur petit bout de chemin… et j’ai eu raison.

Je découvre Grace, une jeune femme pour qui l’enfance n’a pas été toute rose. Issue des quartiers difficiles de Détroit, elle a du très tôt faire des choix qui auront un impact important dans sa vie d’adulte. Cumulée à cela, une vie amoureuse désastreuse, à cause d’hommes ayant brisé sa confiance, elle peine à s’en relever. Les études de droit à Stansfort coûtent cher, même lorsque l’on est major de promo. Elle trouve alors un job de serveuse dans un club échangiste. Premier point qui m’a dérangé : l’idée du club était intéressante mais pas du tout exploitée. Et pourtant une des seules scènes décrite dans ce cadre m’a filé des frissons. Gabriel dévoile son potentiel et j’ai adoré.

Gabriel m’a plu, même si j’ai eu du mal avec le fait que d’un chapitre à l’autre, il semblait changer de personnalité. Un jour mâle alpha, un jour mec banal. Par contre, niveau plastique, je pense que son sex-appeal n’est plus à prouver et j’ai eu légèrement chaud à plusieurs reprises. Mais au fur et à mesure que j’avançais dans ma lecture, j’ai découvert un homme droit, loin du connard qu’il essaye de nous faire croire qu’il est.

Le final est vraiment mais vraiment génial. Et c’est là que je me suis dit : ho, meuf. N’écris pas ta chronique tout de suite. Attends. Et voit ce qu’il en résulte.

Alexia nous décrit deux écorchés de la vie, à différents degrés : une nenette issue du ghetto, un mec blindé rejeté par ses richissimes parents. Et ce bouquin, sous ses airs de romance légère et banale, cache en réalité un travail de psychologie que je soupçonne légèrement autobiographique. Grace m’apparaît finalement comme une battante, une nana brillante qui sait ce qu’elle veut et qui fait ce qu’il faut pour l’obtenir. Elle s’arrache, fonce, ose et on l’adore pour cela. Gabriel nous fait croire qu’il est un salaud, un homme à femmes mais en vérité c’est un mec qui a peur d’aimer. Quand il apprend à connaître Grace, il se surprend à penser que peut-être, elle serait la bonne. Donc en réalité, Alexia nous explique que oui, la vie est faite de doutes, de peurs et d’inconnus, mais que des fois, si on le veut ou si on ose, elle peut vous offrir la plus belle des aventures. Donc finalement, j’ai aimé ce roman. Et il donne chaud, les copains !

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